Annie Ayrault est issue d’une carrière dans l’industrie pharmaceutique. Tout d’abord déléguée médicale, puis directrice régionale et enfin directrice de zone, ce sont 23 années d’expérience commerciale qu’elle met aujourd’hui au profit de sa propre entreprise, Temporis La Rochelle.
Quel projet professionnel aviez-vous ?
A.A. : Je voulais absolument créer quelque chose. Au départ j’étais partie sur le diagnostic immobilier, c’était la grande mode. J’ai suivi les formations, j’ai passé les certifications et au moment de m’installer je me suis rendue compte que ça ne me plairait pas et que ce n’était pas un métier assez relationnel. Lorsqu’on m’a présenté Temporis, il était évident que ça me correspondait plus.
Mon objectif n’était pas de rester derrière un bureau, c’était d’être le plus possible à l’extérieur, au contact des clients. Je voulais travailler dans un secteur d’activité qui me plairait au quotidien, il a fallu faire un choix et aujourd’hui, je ne regrette pas !
Comment êtes-vous entré en contact avec Temporis ?
A.A. : Par l’intermédiaire d’Anthony Le Roux (franchisé Temporis Lorient). On avait travaillé dans le même laboratoire et je l’ai croisé par hasard pendant ses vacances. Il m’a raconté avec passion ce qu’il faisait et un mois et demi après je le rappelais pour en savoir plus…
Comment s’organisent vos journées ?
A.A. : Je passe 80% de mon temps à l’extérieur. Je m’arrête dans une zone, je gare la voiture et je visite les entreprises :le plus possible par jour. Je change de zone dans la journée afin de changer de secteur d’activité et rechercher les entreprises avec lesquelles je peux collaborer. Je m’organise comme je l’entends, je n’ai pas d’a priori et j’apprends beaucoup.
A l’agence, je fais le point avec mon équipe sur les clients intérimaires qui se sont inscrits. Nous discutons ensemble des actions à mener pour les déléguer. Nous échangeons aussi sur les moyens de faire connaître notre agence comme,par exemple, aller distribuer des flyers dans la rue. Mon équipe est un bon soutien au quotidien, l’échange entre nous est indispensable et je sais que je peux compter sur eux.
Que pensez-vous de l’esprit réseau Temporis ?
A.A. : Lors de mon parcours d’intégration, j’ai assisté au Temporis 1ère de Quimper et La Roche sur Yon, aujourd’hui ce sont ces franchisés qui se proposent de venir assister à mon propre lancement commercial !
J’ai également rencontré d’autres franchisés et tous ces contacts ont été chaleureux. On m’appelle pour savoir comment s’est passé l’ouverture, m’encourager et échanger. L’équipe franchiseur a également toujours su répondre à mes questions, il y a toujours eu quelqu’un et je n’ai jamais été isolée. Même après l’ouverture, je ne me suis jamais dis que maintenant que l’agence était ouverte, j’allais devoir me débrouiller seule, au contraire ! Je ne me suis jamais sentie seule et c’est pour ça que j’ai choisi la franchise. Le soutien du franchiseur est primordial et je ne suis pas déçue.
Comment voyez-vous l’avenir ?
A.A. : A court terme, j’attends avec impatience le mois de septembre pour que ça démarre, car j’ai ouvert mon agence il y a 15 jours et ce n’est pas la période la plus propice. Beaucoup d’entreprises sont fermées, il faut donc avoir le moral et mettre tous les moyens de son côté pour bien débuter septembre.
J’attends la fin de l’année pour prendre un peu de recul sur les efforts fournis aujourd’hui qui je pense paieront demain.
Quel projet professionnel aviez-vous ?
A.A. : Je voulais absolument créer quelque chose. Au départ j’étais partie sur le diagnostic immobilier, c’était la grande mode. J’ai suivi les formations, j’ai passé les certifications et au moment de m’installer je me suis rendue compte que ça ne me plairait pas et que ce n’était pas un métier assez relationnel. Lorsqu’on m’a présenté Temporis, il était évident que ça me correspondait plus.
Mon objectif n’était pas de rester derrière un bureau, c’était d’être le plus possible à l’extérieur, au contact des clients. Je voulais travailler dans un secteur d’activité qui me plairait au quotidien, il a fallu faire un choix et aujourd’hui, je ne regrette pas !
Comment êtes-vous entré en contact avec Temporis ?
A.A. : Par l’intermédiaire d’Anthony Le Roux (franchisé Temporis Lorient). On avait travaillé dans le même laboratoire et je l’ai croisé par hasard pendant ses vacances. Il m’a raconté avec passion ce qu’il faisait et un mois et demi après je le rappelais pour en savoir plus…
Comment s’organisent vos journées ?
A.A. : Je passe 80% de mon temps à l’extérieur. Je m’arrête dans une zone, je gare la voiture et je visite les entreprises :le plus possible par jour. Je change de zone dans la journée afin de changer de secteur d’activité et rechercher les entreprises avec lesquelles je peux collaborer. Je m’organise comme je l’entends, je n’ai pas d’a priori et j’apprends beaucoup.
A l’agence, je fais le point avec mon équipe sur les clients intérimaires qui se sont inscrits. Nous discutons ensemble des actions à mener pour les déléguer. Nous échangeons aussi sur les moyens de faire connaître notre agence comme,par exemple, aller distribuer des flyers dans la rue. Mon équipe est un bon soutien au quotidien, l’échange entre nous est indispensable et je sais que je peux compter sur eux.
Que pensez-vous de l’esprit réseau Temporis ?
A.A. : Lors de mon parcours d’intégration, j’ai assisté au Temporis 1ère de Quimper et La Roche sur Yon, aujourd’hui ce sont ces franchisés qui se proposent de venir assister à mon propre lancement commercial !
J’ai également rencontré d’autres franchisés et tous ces contacts ont été chaleureux. On m’appelle pour savoir comment s’est passé l’ouverture, m’encourager et échanger. L’équipe franchiseur a également toujours su répondre à mes questions, il y a toujours eu quelqu’un et je n’ai jamais été isolée. Même après l’ouverture, je ne me suis jamais dis que maintenant que l’agence était ouverte, j’allais devoir me débrouiller seule, au contraire ! Je ne me suis jamais sentie seule et c’est pour ça que j’ai choisi la franchise. Le soutien du franchiseur est primordial et je ne suis pas déçue.
Comment voyez-vous l’avenir ?
A.A. : A court terme, j’attends avec impatience le mois de septembre pour que ça démarre, car j’ai ouvert mon agence il y a 15 jours et ce n’est pas la période la plus propice. Beaucoup d’entreprises sont fermées, il faut donc avoir le moral et mettre tous les moyens de son côté pour bien débuter septembre.
J’attends la fin de l’année pour prendre un peu de recul sur les efforts fournis aujourd’hui qui je pense paieront demain.