Le marché de l’immobilier ancien se porte bien malgré la crise

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L'ADRESSE Un réseau efficace à vos côtés

Créée en 1999 par la FNAIM, mais ouvert à tous. L’ADRESSE est l’une des rares organisations coopératives avec plus de 300 agences immobilières

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Même si l’année 2020 a été marquée par la crise sanitaire du Covid-19, le marché immobilier de l’ancien s’en est sorti.

Malgré deux confinements qui laissaient présager jusqu’à près de 20% de baisse de l’activité, le réseau L’Adresse a enregistré une baisse contenue du volume des ventes de seulement 11%.

Les prix, quant à eux, se sont maintenu dans une tendance haussière de +5,6% en 1 an, portés principalement par le marché des maisons qui a tiré sa force de l’envie des Français de compter un espace extérieur dans leur logement : « Même si nous enregistrons une baisse du volume des ventes sur 2020, il est important de souligner qu’elle est mise en comparaison avec une année 2019 record (plus d’un million de transactions). De plus, j’y vois le signe fort d’un marché qui a su se rattraper à l’issue d’un premier confinement, qui avait mis en pause l’ensemble du marché, et tenir bon durant le second confinement. Pour rappel, au 3ème trimestre, nous envisagions plutôt une baisse de volume de l’ordre de 15 à 20%. » Analyse Brice Cardi, Président de L’Adresse.

Côté prix, le réseau coopératif L’adresse la hausse de 5,6% sur 12 mois glissants a porté le m² à 2 908 € en moyenne même si cette augmentation ne concerne pas tous les types de biens puisque l’espace vert, qui, à la base, n’était qu’un critère secondaire, est devenu un critère indispensable à l’acquisition, augmentant le marché des maisons.

Les délais de vente se sont, quant à eux, rallongés de 3 jours environs en 2020 Vs. 2019, dans un contexte propice à une légère lenteur administrative, notamment du côté des banques ainsi que des notaires durant le 1er confinement du printemps : « Si nous savions l’importance de la pierre pour les Français, fameuse valeur refuge, nous avons constaté, au cours de cette année, que l’immobilier leur apparaît également comme le plus sûre moyen de placer leur argent. Ainsi, leur envie d’acquisition et d’investissement, loin de faiblir, a plutôt grandi au fur et à mesure que le contexte économique s’obscurcissait. » Explique Brice.

Toutefois, tous les entrepreneurs n’ont pas eu cette même chance de satisfaire leur besoin, à cause des conditions d’obtention de crédit qui ont été durcies cette année. Par conséquent, de nombreux français, les primo-accédants et ménages, au petit budget ont dû reporter ou annuler leur projet faute d’obtenir le crédit nécessaire.

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