Le regroupement de crédits est un terme qui a souvent fait peur. Il faut reconnaître que certains organismes ont manqué de transparence et n’ont pas toujours été très respectueux des règles. Cela fait 17 ans que Crédit Conseil de France, leader en matière de regroupement de crédits, a fait le choix de la transparence en faisant un pied de nez aux idées reçues et en développant un véritable réseau d’accompagnement (plus de 40 agences partout en France). La situation économique difficile, la pression fiscale et la volonté d’améliorer leur quotidien poussent de plus en plus de Français vers le regroupement de crédits. C’est aujourd’hui une alternative sécurisée, une véritable solution de financement.
Signe que le marché ne cesse de se développer et que les Français sont de plus en plus nombreux à faire appel au regroupement de crédits, 3 nouvelles agences viennent d’ouvrir leurs portes à Chambéry, Nantes et Valenciennes. Et les projets pour 2014 sont encore nombreux. Des ouvertures sont prévues tout au long de l’année, à Mulhouse, Mérignac, Montpellier, Arras ou encore en région parisienne (deux ouvertures de prévues).
L’enseigne se dotera en juin prochain d’un tout nouveau site internet. Il s’agit ainsi de répondre aux exigences de transparence et de pédagogie toujours plus prononcées des emprunteurs qui souhaitent pouvoir naviguer sur une plateforme efficace et simple d’accès.
L’enseigne continue également de s’affirmer comme une référence en terme de regroupement de crédits avec la signature d’un nouveau partenariat avec un groupe bancaire en région. Ce partenariat avec l’un des plus importants réseaux bancaires mutualistes sur les régions Loire et Bretagne renforce encore un peu plus les relations de Crédit Conseil de France et de ses prescripteurs.
Crédit Conseil de France : une croissance spectaculaire de 15% en 2013 ! Depuis quelques années, le marché du regroupement de crédits se développe progressivement. Sa croissance était de 5% en 2013. Le réseau Crédit Conseil de France a quant à lui pu afficher un chiffre exceptionnel de 15% de croissance. Cette tendance très positive s’explique par l’ouverture de nouvelles agences sur des secteurs qui n’étaient jusqu’alors pas pourvus. Signe que la demande reste forte sur tout le territoire. La prise de part de marché par Crédit Conseil de France sur ses concurrents explique également ce formidable bond économique.
L’enseigne a également amélioré ses taux de transformation grâce à la formation continue en coopération avec ses partenaires prêteurs. Sur un marché qui reste très concurrentiel, Crédit Conseil de France a su faire la différence auprès des prescripteurs d’affaires en répondant à leurs attentes.
| Le gouvernement traque depuis plusieurs années les abus en matière de distribution de crédits. Les récentes règlementations comme la loi Lagarde, le décret IOBSP et aujourd’hui la Prestation de Service Essentielle Externalisée (PS2E) ont pour ambition de toujours plus professionnaliser la distribution de crédits. |  |
Le PS2E a pour vocation d’encadrer plus fermement les relations entre les IOBSP (Intermédiaires en Opération de Banques et en Services de Paiement) et leurs clients. Cette nouvelle réglementation instaure des règles de sécurisation, de transparence, de devoir de conseil et d’information vis à vis du client, et surtout de contrôle. Une bonne nouvelle pour Crédit Conseil de France qui fait de la transparence son cheval de bataille depuis plus de 17 ans. « Chez Crédit Conseil de France, nous avons pris les devants en formant et en informant nos franchisés. Nous sommes prêts ! Aujourd’hui notre métier ne laisse plus de place au hasard, nous gagnons en crédibilité et cela rassure nos clients » commente Fabien Monvoisin, PDG de Crédit Conseil de France.
Crédit Conseil de France se réjouit de la mise en place du PS2E : « le PS2E va dans le sens d’une distribution d’Opération de Banque et de Services de Paiement plus professionnelle et éthique. Cela permet par exemple de générer des crédits plus raisonnables et responsables. Et nous nous battons depuis 17 ans sur ce sujet, dans un souci de respect du client » conclut Fabien Monvoisin.